• Emmanuel Chassagne, des maths aux watts

    Ses voitures dénotent sur le parking du collège. Partons à la rencontre d'Emmanuel Chassagne, un prof de maths passionné par tout ce qui roule. Avec une préférence pour l'accent américain.

     

     

    Emmanuel Chassagne, des maths aux watts

    Une Renault Twingo, une Fiat 500, une Toyota Yaris, et... une Ford Mustang. Une belle Ford Mustang orange avec d'énormes parechocs qui visiblement ne sont pas d'origine. Après quelques minutes d'attente nous avons croisé le propriétaire et nous lui avons demandé son prénom et son numéro pour prendre un rendez-vous pour faire une petite interview et il a accepté avec plaisir.

     

    Quelques jours après nous avons retrouvé M. Chassagne, le propriétaire est un prof de maths pas comme les autres. Il est fan de voitures américaines. Pour l'interview, nous lui avons posé quelques questions. Il parle très vite d’une passion. «J’ai toujours aimé la mécanique, les moteurs en général. J’ai commencé par les motos.» Mais il n'avait pas l'intention d'acheter des voitures américaines, faute de budget. Même si sa première voiture était bien une Ford,  mais une fiesta. Il l’a eu la même année que son permis en 1996.

     

    Aujourd'hui il a 7 voitures : une  Ford Mustang de 2006 orange, un F150 de 2004. Il possède aussi des voitures plus anciennes comme la Galaxy 500 de 1967 cabriolet, une Ford transit et un gros Van ainsi qu’une crown victoria break de 1988.

     

    Emmanuel Chassagne, des maths aux watts

    Si il devait acheter une nouvelle voiture ça serait une Mustang coupé de 1967. Sa voiture la plus performante est la mustang orange ROUSH stage 3 de 2006 qui a un V8 compresseur et elle fait 450 cv.

     

     Sa voiture préférée ? « C’est dur de choisir une voiture car elles ont des fonctions différentes et elles ne se conduise pas de la même façon…» Sa préférence va tout de même au cabriolet de 1967 pour le coté vintage. Elle fait 6 mètres 60 de long et 2 mètres de large. «Et ça ne se gare pas comme ça !» Il l’aime bien car elle est très belle et représente très bien le côté année 60 des américaines. «Quand on est passionné on a envie d’en avoir plein d’autre, toujours.»

     

     

     

    Léonie Genelot, Nina Chevillard, Alessio Benedetto et Lucie Tessieux